SUR LES QUARRES MAGIQUES. Ijl fe trouve paireset puisque le nom bre de toutes ces lettres est n, il est clair que ne f9auroit furpasfer l n. Enfuite puisque chaque valeur paire de ces lettres produit dans la fomme n (n—i) une diminution de deux unités, nótre équation fera |.n (ni)2 *=a n, ou bien en prennant n=2 knous au- rons celle-ci: k (2 k—-1)2 *=2 a k, qui ne ffauroit avoir lieu, que lorsque k est un nombre pair==2 m et partant n=4 m. Alors nótre équation fera m (4 m1)2 a mde laquelle on tire les nombres des lettres alternan- tesqui font pairesfavoir ?r:=m (4 m2 a1) c'est a dire égala un pro duit de deux lacteursl'un m et l'autre 4 m2 a1. Or puisque ne fi^auroit furpasfer 1 n=2 m et que le coefficient de m, (4 m2 a-—1) est un nombre impairil faut abfolument qu'il foit 4 m2 a1=1d'oül'ontire A=2m1 et *:=m. II faut done, que la moitié des lettres 3, 3, a, foit paire et que le nombre n foit divifible par 4par con- féquent les nombres impairement pairs 2, 6, 10, 14, &c. feront entièrement exclus de cette fection, attendu qu'ils ne f9auroient jamais fournirdes direc- K. 4 tri-

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Archief | 1782 | | pagina 287