SUR LES QUARRES MAGIQUES. 1B3 tre verticale. Ainfiquand on veut prendre tous les trois a de la première verticale, puisqu'ils feroient pris de ia lettre A, la première horizontale fe- roit d'abord exclüe de même que la première verticale, et partant les trois b dévroient être tirés de la feconde partie de la feconde verticalec'est a dire du membre A, le feul restant et qui ne contient du tout de b. Suppo- fons done qu'on tire de la première bande verticale deux a et un b c'est a dire trois termes, et il faudra que l'au- tre en donne autant fqavoir un a et deux b. Or les deux a étant pris du membre A de la première horizontale et le b du membre B de la feconde ho rizontale il est clair, que le terme restant de la première horizontale ne peut être que b et ceux de la feconde aa, la première verticale étant exclüe. Au lieu des termes manquans abb nous obtiendrions a a b. D'ou l'on voit déja asfés clairementqu'en tirant de la première verticale un a et deux bil feroit pareillement imposfible de dédui- re de la feconde les termes restant a a b. Par confequent il est démontré que le cas n=6 n'admet t de directrices.

Tijdschriftenbank Zeeland

Archief | 1782 | | pagina 319