^3° L. EULER RECHERCHES ne fqauroit être fi énorme, que la quan- tité de ceux que j'ai examiné n'en de- vroit avoir fourni un qui admet des di rectrices, f'il y en avoit; vü que le cas n~2 et n=3 ne fournit qu'un feulle cas de 11=4 quatre, le cas de 11=5 cin- quante fix, d'après un dénombrement exactd'ou. l'on voit que le nombre des variations pour le cas de n=ó ne fqauroit être fi prodigieux, que le nom bre de 50 ou 60, que je pourrois avoir examiné n'en fut qu'une petite partie. J'obferve encore a cette occafion que le parfait dénombrement de tous les cas posfibles de variations femblables feroi- ent un objet digne de I'attention des Géomètres, d'autant plus que tous les principes connus dans la doctrine des combinaifons n'y fqauroient préter le moindre fecours, 149. En examinant plufieurs de tels quarrés form és au hazard j'ai re- marqué une différence étonnante par rapport aux directrices j'en rencon- trois tantót, qui n'en fournisfoient au- cune, tantót, qui ne donnoient aucu- ne pour deux expofans mais deux pour ehacun des autres, Entre autres je fills

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Archief | 1782 | | pagina 366