238 I- EULER RECHERCHES duire immediatement de la férie du moins les réflèxions fuivantes nous ap« procheront d'avantage de la verité de P i I'asfertion que Q==n P— Car fl Qest le nombre des variations pour un cas quelconque de n, foit impair ou pair, et R le nombre des variations pour le cas fuivant ou le nombre des termes est n -f- 1, il y auroit en vertu de l'expresfïón rappörtée n Q=(n A—i j P 1 et (n 1) R=(n n 2 n) Q-1 oü le figne fupérieur a lieu, fl n est un nombre impairl'inferiêurf'il est pair. Or la fomme de ces deux ex- presfions fburnit cette équation: (fi+i)R+nO=(n p-h?ri>Q+( n—fe reduitè (n O R~tn n+"u)Q+(n n—OP, cf'oii Ton tire en divifant pk n r) a vajenr de R=n Q (n—i)P, qui convient parfaitement avec celle que nous avons déduit ci-desfus de la nature de la férie. Voila ce que j'ai cru devoir ajouter par rapport au dénombrement des va riations qui peuvent avoir lieu dans les quarrés fimples fonaamentauxen laisfant aux Géometres, a voir f'il y a des moyens pour achéver l'énumerati- on n

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Archief | 1782 | | pagina 374