SUE. APOLLONIUS DE TÏJKE. 169 aire ridicule et de ruïner de fond en com- ble la Religion révélée. Le même argument a été répété par d'autres; £c) mais ces deux exemples luffifent pour juftifier l'asfertation de la Société Zelandoife des Sciences dans fon Programmeque plufieurs Ecrivains Payens s, et d'autres après eux, ont placé le Philofo- j, phe Pithagoricien apollonius de Tyane au même rang que N. S. jesus christ," et pour faire feutir l'intérêt de la double questi on qu'elle propofe en conféquence. Engagé par l'importance de ce fujet a 1'ap- profondir autant que mes foibles taiens me le permettrontjé m'estitnerois heureux fi les détails, oil je vai entrer, pouvoient emporter, au moins jusqu'a un certain point, i'approba- tion des hommes éclairós, aux yeux desquels je foumets eet ccritet s'ils leur paroisfoient en quelque forte propres a prouvercombien peu la Religion a a redouter les objections de fes adverfaires combien peu fur tout fon DiVin Chef peut admettre de parallels ou de comparaifon. Pour éclaircir les questions propofées et trai- (O On aura pccaGon dans la fuire de voir, combien A poll o- nies fut encenfé par quelques Auteurs des dcmiers terns du Paganisme.En Angleterre Tbom Woo I ft on. Disc. I. on the Miracles of our Saviour pag 12) a fait aller les miracles eTAp 0 /- Jon ins de psur avee ceux de jesus christ.

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Archief | 1818 | | pagina 263