sua apollonius bi tyane. l$gs
décider si foil ame avoit en effet cesfé d'anï-
Bier fon corpsou s'il restoit encore un fouf-
fle caché de vie qu'ïl n'a fait qu'exciter
et que ies parens avoient été dans la même
incertitude (y): du reste il ne cite presque
jamais de témoinset comae il n'avoit pas
k craindre d'être démenti par les contempo
rains, tous morts depuis longtems il n'entre-
prena pas feulement d'en appeller a aucun
monument qui existkt encore. Quoique apol-
lonius ait viiïté tous les païsaucun des
Auteurs de ces terns la (z) ne fait mention de
lui, du moins de ses prodiges et philos
tra t e est le prémierqui les avancefans
donner aucune autre preuve que le témoi-
gnag'e de d am is, que nous avons déja examiné.
Qu'elie difference de cette conduite a celle
des Evangélistes qui n'exigent jamais qu 'on
les en croie fur leur parole dont le récic
peut foutenir le plus févère examen et qui ne
crai-
(7) Et Te trorivóypx rfc tpuppfiq evpev h aurij. og lAr-
lydei Toijg SepxTeóavrxgair' 'x-reriSxxuÏKV rijp
xvêdxfcpe re xx) xveXafiev "appyrog x xxrx~
l-vglig ro'jTQi) yéyovev'oux epehi f/Jvux/.?.x xcti roig
7.'y.pxruyjjrt'j Lib. IV. cap. 4s. Voyez il ce fujet liuotü
Diuionfltr. Evatig. Prop. IX. cap. 142. p. 957,
O) I'Auteur de I'articlc Apollo,, ius dans FEneyclopiPie
d'Tvtrdan rcmarque avce raifon qu'aueon historiën Grec ni
Latin ni ïacite ni Suerone ni Plutarque ni aucun Poëte
Payende ceux qni om le plus aimé Ie merycüleqx n'ont fait
menaon d'.f p tl Ion i «1 ni de fes miracles.-;!