JUK. APOLLONIU» DB TÏAKE, 203
qu'il fait paroitre pour le fervice des Dieux
et ce ton d'autorité dont 51 parle aux Ponrifes
de leur culte aux fages de leur doctri
ne (i) aux grands de l'exercice de leurs
charges kaux Princes de l'acceptation de
leurs dignités (i) et cette fermeté en pré-
fence des perfécuteurs Cm), et cette part qu'il
prend aux intrigues politiques font au-
tant d'alimens qu'il préfente k sa propre glos-
rea radmiration de la multitude au presti
ge univerfel. Concis dans fes discours O),
il aime k prononcer des fentences qui ont l'air
d'oraclesfier dans fes réponfes ii donne (p
pour raifon de ce qu'il ne cherchoit plus
a s'intruire que sa tache étoit d'enfeigner les
autres fingulier avec art, il étale (§0 une
liste de vertus au péager qui lui demande
celle de fes effets; dédaigneux avec afferiation,
i! reprend (r) avec fes disciples une conver-
fa-
V. e. lib. I. cap* si., lib. IV. cap. 29.
(x) P. e. lib. VI. cap. io. fcjq.
P. e. lib. cap, 28.
{Jil pousfoitmêxne cetce liberie un peu loin. lib. VI. 2?.
Lib. IV- 44. lib. VII, 32. 33-
Lib. V. cap. 10.
(O P b 11 ostfe lib. L e» s?o
ibid. lib. I. cap. 17. aS.
Ibid. lib. L cap. ac.
Ibid, lib. cap. 3Q.