sïo C. s. de 6hauïspié, dissertation
S9 terns qui ne Je placoient pas feulement
?5 entre les Phjlolbphes"
CHAPITRE III.
Confèquenccs en faveur de la Religion Chrllienne.
Pour achever le plan que je me fuis propo
se il s'agit d'indiquer encore les principale?
conféquences qu'on peut légitimement dé-
duire de l'histoire A'apollo nius et des
circonftances de ses historiens en faveur de
notre fainte Religioncentre la quelle on l'a
fouvent fait fervir.
I. La première n'est en effet que le réfu-
mé des reflexions qui ont été propofées dans
le parallèle entre piiilostrate et les au
teurs Evangéliques. Tout, comme on voit, y
est a l'avantage des derniers, et s'il est vrai que
le contraste fait mieux sortir le meriteil n'est
pas douteux que le crédit des historiens fa-
crés ne doive y gagner quand on voit com-
bien a tous egards l'Orateur de l'Impératrice
leur est inférieur. Pn voit dans l'ouvrage de
ce-
f 1ïufgbius in Hierocltm c. 36» Bayle DiSlionnaire Art.
Apollo.nius in not.) regarde cette asfertion d'Eufebe comme fort
exngéréc mais le jugemenc que nous avons vu qu'il porte lui
?nême ftAp otloniusfijifit pour le disculper du fbup<;on d®
^artialité eet égard.