-< 65 grande parlie de ma vie pour Vamour de mes concitoyens. Ten appelle a leur conscience fen appelle même d celie des Anglaiss'ils peuvent me prcuver de Uur avoir été devcué déaucune manié reou dé avoir commis aucurt acte préjudiciable aux intéréts de laHaliunde, ou de la France. II est vrai que les Hollandais n'aiment point les Frangaismais ils aiment encore moins les Anglais. Ils n'aiment que leur Pais et on les trouvera toujours fidèles au maitre qu'on leur donne. O est d la Religion quits doivent ces principes Au reste je vous declareSire! si dé autre Nation que les Anglaissi les Anglais même revenoienl dans cette Fills je ne saurais faire autre chose que ce que j'ai faitc'est d dired'agir en honnête homme. d De aanspraak scheen op nji'oi.eon eenen hem ongewonen indruk te maken bijna zeven kwartier uurs lang onderhield hij zich met de Regering van Middelburg over onderscheidene onderwei pen doch viuglig en oppervlakkig hij bleef echter gedurende al dien tijdvolgens het Deze Perioden zijn terftond na den afloop der audiëntie door wijlen den Heer stavor i wus, die naast de» Heer schorer gestaan hadopgeteekend. Zelfs de woordelijke echtheid is buiten allen twijfel.

Tijdschriftenbank Zeeland

Archief | 1828 | | pagina 85