jj6 <j» s. be chaufbïié, dissertation renferraea toutes les digreslïons rélatives- a la Philofophie Pythagoricienne k la Phy- fique kl'Histoire, aux Antiquités (n on lie peut se disfimuler qu'il n'entre beau- coup d'ostentation dans eet ouvrage et que 1'Auteur n'ait eu desfein en l'arrangeane de faire parade de son erudition. Si on réunit ces reflexionson verra dans 1'Historien d'APOLi-ONius uu homme, qui se propofoit de faire sa cour a sa Souveraine d'étaler fes connoisfanceset d'oppofer son héros k J. C. pour ruïner le crédit de sa Re ligion.Ce ne font pas lk des titres k notre confiance. II. II est aisé après ce qui vient d'être ditde comparer les Historiens de J. C. avec celui d'apolloniu5parraport aux moyens qu'ils avoient pour divulguer leur narration pour la faire recevoir et pour la transmettre k la postérité. On a vu le crédit de philos- trate k Ia cour de Rome et on comprend la proteftionque dcvoit trouver ua livre écrit nPour convcnir de cette Réflèxion iï fuffi'c de lire les di- gresfions de Pbilostrate toucbant les hommes 4 coudccs r les Pygméesles Eléphansles curiofités du mont Taurus (lib II le fleuve Hyphafis le fecours des finges pour rasfembler les Aro- xnates la chasfe des Dragons (lib III)la déscriprion des différena paysles entretiens avec les Mages fur les matieres les plus al*- ftraites, fur tout concsmant la ThcRirgiel'explication d'un Phdnc^ •snenc cbiervc au boieil, (lib. VIII. Cap. 23) &c(

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Archief | 1818 | | pagina 270