iSo O. SI DB CHAUFEPIÉ, DISSERTATION
qui y pergoit C?)' C'est probablement le
nombre de ces bistoriens qui a fait croire
It nn favanc (r qu'on avoit voulu les oppo*
fer aux quatres Evangélrstes ccci cependant
ne paroit nulle-part. Quoi qu'il en foit c'est
MAXIME c'est BAMIS c'est PHILOS-
tr ate, qui font ces grands hommes et ces
amis des Dieux.Maxim'e n'a fourni de mé
moires que pour la moindre partie de la vie
du Héros n'ayant parlé uniquement que de
ce qui s'est pasfé a fon égard a Aegtedans
le temple d' Esculape. Ce n'est pas le mor-
ceau le moins intéresfant de la vie d'APOL-
lONius telle que- p hi los tr a té nous
l'a confervée probablement d'après ces mé
moires bien qu'on foit uu peu furpris d'y
voir Esculape slui mêrne communiquer
confidentiellement a fon Pontife combien il
eet charmé d'avoir apollonius pour témoin
de fes cures.
Du reste il est trop difficile de faeoir au
juste ce qui est de Iui pour apprécier fon
Caraétère et fon genre d'écrire.bamis
nous
(j) Pb i/o strut. I. I. C. 3.
(r) C'est J'idée de Me r tens Cafaubon (in (be pref. to
the relation of what pnsfed between Dr. John Die fome
fpiritsv. O I a r i i prefationtm in PbiJostr, p. XXXII»
(O Pbiitsir. lib. I. cap. S.