Slï O. s. DE CHAPFEPIÏ, DISSERTATIfltl f}e tqute ombve de foupcon. Leur fupériorité p?r desfus l'bistorien d'APOLLONius, qui avoir tous les fecours humains, done ils étoient privés nous rappeïle a cette influence céles- te qui feule pouvoit leur donner les talens pécesfaires pour expofer les faits et la raé- pioire requife pour les conferver dans leur in- ïégrité primitive. L'Orateur de la cour, initié dans tous les fecrets de Ia Philofophie, inftruit de toutes les Régies de Ia Rhetorique préte aux cenfures les plus justeset quatre Galï- léens étrangers par leur naisfance par leur patrie par leur condition aux lettres et aux fciences écrivent chacun h part l'histoire j3u Sauveur fans qu'on puisfe les trouver en faute. Quelle viftoire pour ces derniersquel le preuve de l'asfistance qui leur fut accordée.' II. On a vu d'ailleurs dans l'histoire de rHlLOSTRATE des rapprochemens fenfibles avec celle de J. C. et si l'on vouloit entrer dans les détails, il feroit facile d'en fournir de nou- velles preuves. Quelque fois on voit les mi, racles de I'Evangile répétés quant h l'esfen- ?iëlquoiqu'avec des couleurs différentes d'autrefois c'est la conduite du Sauveur avec fes Apótres ce font fes discours ce font des particularités remarquables de sa vie qu'on jretrouve. fout ceci ne plaide-t-il pa$ ppuf

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Archief | 1818 | | pagina 306